« Il faut appliquer les procédures » ; « il aurait dû renoncer » ; « il y a eu une mauvaise décision »… Tout cela est souvent vrai quand on analyse un accident, cependant ce sont souvent des constats a posteriori.Le fait est que le pilote concerné arriverait sans problème à la même analyse s’il avait connu la fin de l’histoire. Mais dans la dynamique de la situation : ce qui lui aurait permis de prendre cette fameuse « bonne décision », ou d’appliquer une procédure connue, n’était pas accessible.
La question à se poser est : sommes-nous les mêmes sous stress, sous émotions ? La réponse est non.